Question des droits de l'homme

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S'il fut une époque où la femme avait une influence bénéfique, il faut avouer qu'à notre époque, surtout avec l'instauration de la parité, nous ne sommes pas gâtés. Entre les féministes, les LGBT et tout le reste et nos Aurore Bergé, Marlène Chiappa, Anne Hidalgo, Christiane Taubira, j'en passe et des meilleures, la vie politique évolue en rase-mottes (si je puis dire, je ne l'ai fait pas exprès) en maintenant notre pays au ras des pâquerettes. 
Mais tout cela nous éloigne du concept des droits de l'homme. Aujourd'hui, ils revendiquent tous des droits au nom de leurs différences affichées. Une orientation sexuelle est prétexte à une revendication. Les droits de l'homme sont justement l'abolition des inégalités de droit pouvant apparaître ici ou là. Si ces gens-là n'affichaient pas ces différences qui ne nous regardent même pas, il n'y aurait pas de question au sujet des droits puisqu'ils sont les mêmes pour tous. A moins qu'ils revendiquent des droits qui remettent en cause nos valeurs sociales en vue de les déstructurer (voir le mariage pour tous, entre autres). Et c'est bien là que réside l'enjeu : imposer aux autres des lois qui ne les concernent pas, déstructurer la société à leur avantage et même, pourquoi pas, asservir ceux qui ne vivent pas comme eux, ou les traiter par le mépris, bien souvent dans un esprit de revanche vis à vis d'une oppression toute subjective et exagérée.
Maintenant, en ce qui concerne les droits de l'homme évoqués par Thierry Meyssan, il est évident que tous ces gens qui prétendent bénéficier d'une prédestination divine ne sont que des imposteurs même pas religieux : ils se servent de la religion et des valeurs humanistes pour mener leurs actions maléfiques et destructrices. Ce ne sont que des criminels déguisés en humanitaires. Dans tous les cas, ils vivent dans l'Ancien testament, ils n'ont pas eu connaissance du Nouveau ou en ont été mal instruits.
Actuellement, il est question "d'égalité", mais l'égalité de fait n'existe pas et n'existera jamais pour la simple raison que tous les êtres naissent différents et évoluent différemment. Ce qui importe, c'est l'égalité en droit, l'égalité de traitement à l'intérieur de la société. Si l'égalité de fait venait à exister, nous ne serions plus que des clones.