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14 Oct

La destruction de la cellule familiale et ses côtés cachés

Publié par Legrand

La destruction de la cellule familiale et ses côtés cachés

La destruction de la cellule familiale et ses côtés cachés

 

          Ce texte fait suite à celui de Karine Bechet-Golovko du 12 octobre 2019, suivant ce lien : https://reseauinternational.net/une-loi-bioethique-pour-une-ethique-de-la-barbarie/

 Je lis les articles le soir et mes interventions dans le forum étant souvent tardives, je préfère créer un nouvel article qui me permet de préciser les choses.

 

          La destruction de la cellule familiale n’est pas un hasard, c’est une volonté d’accaparement par l’administration étatique de  « l’éducation » des enfants dès leur plus jeune âge afin de les formater et d’en faire des clones incapables de contester et de se révolter, soumis docilement à la société de consommation, en même temps qu’à la paupérisation et à la précarité, les instruments présumés de la domination. La suppression de l’enseignement de l’histoire et bientôt de la philosophie  s’inscrit dans ce processus bien établi. Dans la continuité, cela peut s’accompagner de l’eugénisme. Il me semble évident que, dans un monde traditionnel, cette façon d’envisager les choses est vouée à l’échec, cependant, on peut craindre le pire dans un monde informatisé et numérisé qui planifie l’asservissement des individus à l’administration et au régime politique égalitariste imposé de manière totalitaire, avec l’aide zélée des médias subventionnés. Ce qu’ils appellent pompeusement l’intelligence artificielle décidera à  la place de l’être humain, qui risque bien de ne plus avoir la liberté de le demeurer. L’Union européenne est sur la voie de remplacer et de supplanter l’Union soviétique que les peuples ont rejetée, encore qu’il y aurait beaucoup à dire sur les circonstances de ce rejet, mais c’est un autre sujet.

          Dans un monde sain, les valeurs énoncées de Travail, Famille, Patrie, peuvent se comprendre d’une manière saine : si la royauté a adopté comme emblème la fleur de lys, ainsi que l’abeille, cette fleur et cet insecte existaient avant la monarchie et les empires et ne sont pas responsables du rôle qui leur échut par suite d’un choix qui n’est pas le leur. De même, ces 3 mots existaient avant Pétain et ils ne sont pas responsables de la politique qui a été menée après qu’ils furent inscrits sur sa bannière.

          Nous voilà en face d’un vocabulaire qui est marqué du sceau du tabou, à tel point que les évoquer convoque le doigt pointé sur le nationalisme antisémite pétainiste. Ce tabou est manié avec fébrilité et une grande dextérité pour disqualifier ceux qui ne sont pas d’accord avec les prises de position des gouvernements les plus récents,visités par les agents du CRIF en France et de l’AIPAC aux USA qui font fi (extrême paradoxe) de ce qu’en pense le peuple, en droit de s’exprimer au nom de la démocratie affichée en tête des valeurs brandies par ces mêmes gouvernements. Car enfin :

          Travail : donner un travail à chacun ou à chacune pour lui permettre de se réaliser en toute dignité en tant qu’être humain responsable de sa propre existence. Le travail n’est pas qu’un devoir, il est aussi un droit.

          Famille : fonder une famille par le biais du mariage (hétérosexuel, de préférence…) marqué par le sceau du sacrement, c’est un engagement et une promesse, l’entrée dans la vie civile traditionnelle et responsable, appelée à transmettre les valeurs républicaines (qu’on le veuille ou non, elles-mêmes issues de notre culture chrétienne) à une descendance éduquée à devenir elle-même responsable.

          Patrie : garder en soi le bien précieux que constitue la nation à laquelle nous appartenons et qui nous protège des invasions, des atteintes à nos institutions et des destructions liées aux guerres. Cela ne constitue nullement un nationalisme exclusif ou fondamentalement xénophobe, voire fascisant et guerrier, comme il est parfois sous-entendu, malicieusement. Un patriote peut parfaitement se sentir également européen (ou autre) dans la mesure où cette Europe ne contribue pas à la négation des valeurs incarnées par la nation, son peuple, ses traditions, de ce qui constitue ses racines profondes, son origine, encore moins à leur destruction à la fois concertée et dissimulée de manière mensongère. Un patriote est également capable d’accueillir un étranger attiré par notre culture, ou tant d’autres choses, pourvu qu’il soit intégrable et qu’il se montre bienveillant vis à vis du pays hôte et de sa population. Toutefois, en cas d’invasion massive à tendance hostile, il a le droit d’y regarder à 2 fois.

                                                                                                                                                                                                            Face à ce triptyque, la devise nationale et républicaine : Liberté, Egalité, Fraternité, s’articule comme l’huile qui lubrifie les rouages de la société. Si ces 3 idéaux ne sont que des vocables qui ne recouvrent plus rien hormis une antienne dissociée de la réalité, les 3 noèmes, les 3 socles précédemment nommés, ne supportent plus que des constructions précaires et sont exposés aux dégradations, par gros temps. Ces 3 idéaux représentent la noèse, la  mise en œuvre de ce qui est exposé par la pensée à travers la devise. Lorsque la mise en œuvre est manquante ou absente, l’ensemble est déséquilibré et mène à la ruine des socles par érosion naturelle, minage ou sapement. Et c’est, hélas, ce qui tend à se passer de plus en plus.

          Ce n’est pas un hasard si la devise de la République a été écartée durant la gouvernance de Pétain : la société a fonctionné sans huile : sans liberté, sans égalité, sans fraternité et elle s’est grippée irrémédiablement, divisant le pays en deux : les bons collabos et les horribles terroristes. C’est bien la preuve que la devise pétainiste rend innocents ces 3 mots de Travail, Famille, Patrie et qu’ils sont bien les fondements de notre société, les 3 autres mots Liberté, Egalité Fraternité, étant ce qui les assoit dans le dur et les maintient dans la durée. Et c’est bien la preuve également de ce qui se passe actuellement au plan social avec le mouvement des gilets jaunes qui dure en raison de la façon odieuse dont il a été traité, et les revendications professionnelles qui s’accroissent.

Nos politiciens ont négligé ces considérations élémentaires en prétendant se démarquer des « extrémismes », en réalité, de l’extrême droite représentée par la famille Le Pen. Les excès de Jean-Marie Le Pen ont jeté la suspicion et le discrédit sur le mouvement qu’il incarnait, mais aussi, les valeurs défendues ont été complètement mises de côté par la classe politique, par crainte de l’accusation « d’en être », de s’accoquiner avec le diable et de s’exposer au qualificatif abusif d’antisémite qui infeste et ravage notre société et notre vie politique. Par la détestation de la famille Le Pen, la politique française a dénié l’évidence en raison d’une mauvaise interprétation de l’histoire et des valeurs françaises, des vraies valeurs de la république fondée sur la démocratie qui consiste avant toute chose à rester à l’écoute du peuple qui subit au quotidien les conséquences des erreurs que sont parfois appelés à commettre les élus quand ils s’imaginent avoir raison malgré la réalité des choses. Quand le peuple n’est plus entendu, ce sont les minorités qui en profitent pour imposer leurs particularismes, et les lois qui les caractérisent. 

Ce n’est pas la démocratie qui est la cause de nos problèmes, ce sont les mensonges qui nous sont assénés, les valeurs inversées et les pratiques autoritaires, arrogantes, méprisantes en réaction desquelles les révoltes du peuple sont qualifiées de « lutte du populisme contre les élites ». Où sont les élites ? Nous n’avons à faire qu’avec des médiocres incultes, des menteurs arrogants et méprisants, bref, des malfaisants. Ce serait plutôt l’inverse : ceux-là qui se qualifient eux-mêmes d’élite sont devenus les ennemis du peuple et lui mènent une guerre implacable derrière des présentations qualifiées d’innovantes et courageuses !

Estimons-nous heureux, on ne touche pas au droit des « quelconques hétérosexuels » de procréer de manière charnelle (à « l’ancienne » pour parler comme Régis de Castelnau). Ouf ! Peut-être faudrait-il dire « Merci » à la dame, comme les enfants?

Des oies, cacardantes, cagnardantes, criaillantes, etc. (non, pas craquantes…) occupent le centre de la basse-cour parlementaire.

 

          Cette déviance totalitaire et égalitariste (néanmoins, certains sont « plus égaux » que d’autres) de notre société se ressent particulièrement depuis les invasions massives de migrants. La signature en catimini du Pacte de Marrakech transforme notre pays en ONG : nous sommes contraints (quoiqu’on nous dise) d’appliquer les directives énoncées et les critiques sont interdites et sanctionnables. Ces ONG subventionnées qui vivent en accompagnant les guerres (qui les font vivre, avons-nous déjà vu une ONG mettre fin à une guerre ? On déplace le problème, et bien souvent les gens, sans rien solutionner) crient au droit d’asile. Mais enfin, avons-nous le devoir d’accueillir des gens qui nous sont hostiles et qui veulent substituer leur culture à la nôtre ? C’est une guerre qui nous est livrée et à laquelle nous avons à répondre autrement qu’en nous couchant.

          Les migrations sont l’objet d’un business lucratif et nous sommes soumis à un sentiment de culpabilité, on stimule nos émotions par l’usage d’images de gens en détresse. Il est difficile de ne pas succomber, mais les migrants ne sont pas des naufragés, nous précise  l'amiral François Jourdier, Contre-amiral (2°S) Ecole navale (1949) (le 28/08/2019). Le droit de la mer ne s’applique même pas : la marine n’est pas tenue de les secourir.

https://www.officierunjour.net/editoriaux/les-migrants-ne-sont-pas-des-naufrag%C3%A9s/

 

          Nous ne sommes pas tenus non plus tenus de leur accorder le droit d’asile.

 

          La Stratégie de l’Action culturelle islamique à l’extérieur du Monde islamique publiée par l’ISESCO est parfaitement claire : la civilisation islamique n’est pas soluble dans la nôtre. Nous sommes en guerre et nous donnons asile à nos ennemis : c’est de la trahison vis-à-vis de notre nation et des Français qui doivent subir les malveillances sans rien dire ni agir. Cette stratégie de conquête est exprimée on ne peut plus clairement, elle commence avec les écoles coraniques, les écoles-mosquées, l’infiltration dans nos instances administratives et l’utilisation du ventre des femmes menant à la course aux subventions et aides sociales de toutes natures. La polygamie permet aux différentes épouses de bénéficier des avantages des mères célibataires.

Dire ceci n’est pas diffamant, ni haineux, c’est la stricte réalité : c’est écrit noir sur blanc, ce sont eux qui le disent ; simplement, il faut aller au bout des 118 pages de texte répétitif et rébarbatif (dissuasif) pour prendre la mesure du problème auquel nous sommes confrontés, avec la complicité de Bruxelles et de l’ONU.

          Cela fait déjà quelque temps que Tel Aviv avait toute liberté d’action pour mener sa politique d’apartheid contre le peuple palestinien. En raison de notre silence complice, le conflit israélo-arabe s’était déjà exporté chez nous, l’embrasement du moyen orient a accéléré et intensifié le processus.

         

          Le comble de cet état de fait est que nous sommes gouvernés par des instances supranationales qui projettent de détruire les nations, les cultures, les identités nationales et cela commence par la destruction de la cellule familiale : c’est l’alpha et l’oméga. Ces instances sont entre les mains des financiers et des francs maçons. Ces derniers sont des adversaires acharnés de l’Eglise catholique. Ils en sont encore à argumenter contre l’idée de l’existence de Dieu. Peut-être se le représentent-ils comme un vieillard barbu perché sur un arbre au milieu du ciel et censé distribuer les punitions et les récompenses ? Leur absence totale de quelque spiritualité se dissimule derrière une symbolique artificielle. Ils refusent et continuent de fustiger le cléricalisme qui a disparu de la vie civile depuis belle lurette et ils sont prêts à accepter la charia. En Allemagne, la justice accepte l’application de la charia pour les conflits d’ordre familial. Avons-nous entendu les francs maçons mettre en garde contre l’islamisme ? Sans doute sont-ils trop heureux de la destruction de la chrétienté pour y réfléchir un seul instant.

          Le principe de la laïcité accompagne notre démocratie. La laïcité ne doit pas revêtir de caractère sectaire, c’est elle qui permet la cohabitation des religions, comme cela était le cas en Syrie avant qu’elle ne soit envahie par les forces de la coalition occidentale qui prétend à elle seule représenter la « communauté internationale ».

          Cette laïcité ne doit pas être le véhicule de la haine des religions, mais celui de leur respect en gage d’une neutralité sociétale : pas de signes ostentatoires, séparation du religieux et du politique. Pour l’islam politique, il n’en est pas question et il nous le fait savoir sans y mettre de formes.

Il est alors malaisé de comprendre pourquoi d’un côté on attaque et rabaisse la chrétienté et que de l’autre, au prétexte d’un évangélisme inapproprié, on accueille les ennemis de notre civilisation.

Il y a une explication possible, c’est celle du Nouvel Ordre Mondial qui vise à détruire le moyen orient au profit du sionisme via le mythe du « Grand Israël », et cette destruction entraîne la destruction culturelle de l’Europe par l’invasion migratoire. Cette destruction commence avec la destruction de la cellule familiale et transite par la polygamie, et tous les avatars de la sexualité posés comme déterminants de l’identité humaine et ouvrant à des droits soi disant les mêmes pour tous. A vrai dire, n’est-ce pas là une limitation singulière de l’identité humaine et une nouvelle dictature imposée à l’ensemble de la nation ?

          Dans ces destructions, l’ONU n’est pas innocente, le plus grosse contribution budgétaire à son fonctionnement est celle des USA qui agissent sur les membres de l’organisation à la manière de la mafia : arnaque, chantage, menaces, destructions, élimination, etc. En revenant dans le commandement intégré de l'OTAN, forcément dévolu à un général américain, la France est devenue vassale de Washington et son armée, une unité de l'armée US. Insidieusement, notre culture est sous influence, d’une manière identique, travestie, masquée par les biais médiatiques, consentants ou contraints.

          Globalisme et mercantilisme sont les deux mamelles de l’impérialisme hégémonique et la financiarisation, le carburant qui maintient le système dans un mouvement perpétuel qui va en s’accélérant. Face à cet ouragan fomenteur de guerres et de destructions, l’Asie s’est levée. Le mouvement initié par la Russie et Vladimir Poutine montre la voie politique, économique et spirituelle dans laquelle nos espoirs de changements peuvent être fondés. La France a eu de Gaulle, le monde a maintenant Poutine. Gardons confiance et espoir.

 

Charles André Legrand, poète, essayiste, le 13 octobre 2019

          Le 13 octobre 2019

https://reseauinternational.net/la-destruction-de-la-cellule-familiale-et-ses-cotes-caches/

 

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