11 Feb

Les militaires US quittent 15 bases en Irak

Publié par Legrand

Géopolitique

/11 février 2020
/Réseau International
/15 Commentaires
/2164 vues

Les troupes américaines ont commencé leur retrait de 15 bases situées sur le territoire irakien, affirme Al-Arabiya. Néanmoins, les soldats stationnés dans les bases à Erbil et d’Al-Asad resteraient sur place.

Suite à la décision du parlement irakien qui réclamait le départ de toutes les forces étrangères du pays, les militaires américains ont entamé leur retrait de 15 bases en Irak, a annoncé lundi 10 février la chaîne Al-Arabiya.

Pour l’heure, aucun commentaire officiel à ce sujet n’a été fait ni par Washington ni par Bagdad. La chaîne affirme cependant que les militaires n’envisagent pas de quitter les bases à Erbil et d’Al-Asad.

Toujours selon Al-Arabiya, la France, l’Allemagne et l’Australie ont envoyé au gouvernement irakien des demandes de retrait de leurs troupes du pays.

Retrait sur fond de menaces iraniennes

Auparavant, les États-Unis avaient fait part de leur déception face à la décision des députés irakiens qui faisait suite au meurtre à Bagdad du commandant de la Force iranienne Al-Qods Qassem Soleimani dans une frappe ordonnée par Donald Trump.

Selon Washington, le général a été éliminé en réponse aux attaques visant les bases de la coalition internationale en Irak et l’ambassade américaine à Bagdad. Téhéran a pour sa part qualifié le meurtre de Soleimani d’acte terroriste et promis de riposter.

source : https://fr.sputniknews.com/international/202002101043037920-les-militaires-us-quittent-15-bases-en-irak-selon-al-arabiya/

Commentaire :

La France qui demande l'autorisation de quitter le pays! Le Drian n'a pas compris que la France n'ayant rien à faire en Irak, elle a le droit de s'en aller sans demander d'autorisation. En 2003, la France avait refusé l'invasion de l'Irak, elle peut aussi déclarer qu'elle sort de l'OTAN. De quoi a-ton peur? De subir le sort de Soleimani? Alors, il faut changer de métier et se retirer à la campagne et garder les chèvres, monsieur le Drian (et Macron aussi).