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19 Dec

Marie-France de Meuron : le processus de radicalisation est à la mode

Publié par Legrand

Marie-France de Meuron : le processus de radicalisation est à la mode

https://reseauinternational.net/le-processus-de-radicalisation-est-a-la-mode/

Ce gouvernement est radicalisé en ceci qu'il s'enferre dans un discours qui inverse la réalité, malgré les avertissements des vrais savants, des vrais praticiens, des vrais humanistes. Ils ont brouillé les pistes et condamné ceux qui parlent vrai, ils ont cerné la vie sociale en intervenant sur le quotidien de la population en jouant sur la division et la répression policière qui n'est autre chose que du racket. Radicalisation et totalitarisme vont de pair, cela n'est même plus comparable à la religion, c'est du fascisme pur et dur, de la même façon que le radicalisme islamiste n'a plus rien à voir avec un islam (en voie de raréfaction, ou du moins quelque peu silencieux) respectable et respectueux, puisqu'il n'est plus qu'une entreprise d'aliénation et d'emprisonnement par un carcan omniprésent, dont le rejet entraîne la condamnation à mort.

Avec Macron, nous assistons à la guerre des "élites" auto-affirmées et parvenues au pouvoir par usurpation et détournement d'une élection, contre le peuple. Ce sont les "1ers de cordée" contre "ceux qui ne sont rien". La soumission, l'emprisonnement et la mise à mort font partie du système. Le mensonge et la manipulation par la peur sont les 2 mains du tyran.

Ceux qui ne sont plus rien sont les plus nombreux, par conséquent, il devrait être possible de venir à bout du tyran. Ne comptons pas sur les prochaines élections : si la classe politique n'en dit ni n'en fait pas plus en face de cette situation, je me dis qu'elle espère simplement bénéficier elle aussi de cette situation lorsque son tour viendra. Si ce tour arrive, ne croyez pas que toutes les mesures liberticides seront abolies du jour au lendemain : pour la plupart des politiciens, le pouvoir est une drogue qui transforme un parlement en secte totalitariste.

C'est bien d'un renversement dont nous avons besoin, dans tous les sens du terme.

Commentaire complémentaire :

La montée en spiritualité est bien évidemment la voie par excellence de l'évolution humaine, mais il ne faut jamais perdre de vue qu'en temps de guerre, la spiritualité ne joue plus : elle est la 1ère victime offerte à la barbarie, car sans défense. Ce n'est plus tant la spiritualité qui conduit à la libération que la détermination des gens éveillés à la réalité terrestre qui n'est qu'un champ d'épreuves à surmonter encore et toujours.

La montée en spiritualité n'est pas linéaire : les esprits de lumière rejoignent l'au-delà et le cycle des vies successives continue son cours. C'est ainsi que des êtres moins évolués s'incarnent ou se réincarnent et continuent la barbarie qui les précède sur la terre. On peut toujours espérer l'arrivée ou le retour d'un être providentiel, c'est d'une certaine façon attendre Godot, lequel, bien sûr, ne viendra jamais.

La vie terrestre est constamment un équilibre instable entre les forces de l'esprit et celles de la malfaisance et de la criminalité, c'est ainsi. Toutefois, il demeure une colonne vertébrale spirituelle et c'est elle qui permet à chaque fois de préserver ce qui fait l'humanité de l'être humain. C'est ce qui anime et constitue véritablement le coeur de l'Histoire.

Il n'y a aucun dialogue possible avec les tyrans, comme avec les terroristes radicalisés, on ne discute pas, il n'y a rien à négocier : on ne peut que se défendre et éradiquer la vermine, notamment quand elle s'immisce chez nous avec le dessein de nous détruire.

Il n'y a rien à attendre d'un gouvernement tel que celui que nous avons, ni des instances internationales qui tirent les ficelles financières.

Pour poursuivre l'intervention de Daniel Charette, je dirai ceci : depuis la crise de 2008 consécutive à la dérégulation des marchés tant aux USA que dans tout l'Occident, les banques et les multinationales ont été renflouées par les banques centrales à l'aide de centaines et de milliers de milliards. Cet argent n'est pas allé dans l'économie réelle, mais dans les poches des spéculateurs. En 2008, quand la crise des "subprimes" a éclaté, le Dow John était à un peu plus de 14 000 points. Alors que nous sommes dans une terrible crise économique, dissimulée par la création de cette "pandémie", bienvenue pour la prospérité des plus riches, le Dow John a atteint les 30 000 points! Le peuple américain est paupérisé et le peuple français suit la même voie.

Dites-vous bien que ce sont ces mêmes financiers, laboratoires pharmaceutiques et multinationales qui profitent de cette crise, car ce sont eux qui l'ont créée et qui l'entretiennent dans le seul but de nous tenir à leur merci, sous leur domination.

Prenons garde que la spiritualité ne devienne notre opium, auquel cas ce sont eux qui auraient gagné contre nous.

Le battage écologique est de la même veine : tout est faux, il n'y a aucune urgence climatique et l'homme n'a aucun pouvoir sur le climat, le CO2 n'a aucune action sur le réchauffement, il en est même la conséquence. L'homme n'a aucun pouvoir sur le climat et c'est très bien ainsi, sinon nous serions à la merci des apprentis sorciers qui voudraient le changer à leur convenance : imaginez les conflits!

Vous croyez que ce sont éoliennes et le photovoltaïque qui vont recharger les batteries des voitures électriques la nuit? Voilà bien le fonctionnement de l'opium distillé à la population.

Marie-France de Meuron
Marie-France de Meuron
20 décembre 2020 19 h 35 min
 
Charles André, vous me semblez bien affirmatif dans votre définition de la spiritualité! Evidemment, telle que vous la percevez, il n’y a aucune place pour elle dans les situations déplorables.
Pour d’autres, la vie spirituelle consiste à se connecter à bien d’autres dimensions qui peuvent inspirer les personnes qui en sont imprégnées pour trouver les forces et les intuitions de manière à transmuter des situations qui paraissent inextricables.
Charles André Legrand
Charles André Legrand
20 décembre 2020 21 h 23 min
 

Marie-France, vous avez raison d’un certain côté et j’ai moi-même rééquilibré en évoquant la « colonne vertébrale ». Je ne définis pas la spiritualité, je parle de la spiritualité dans une situation particulière, celle de l’état de guerre, la guerre que livre le gouvernement contre la population, contre sa culture, ses traditions, son identité nationale. C’est la force brute contre l’innocence sans défense, contre toutes les libertés, y compris les libertés de culte. Pour la spiritualité, c’est un peu différent, la liberté de penser nous appartient toujours, même si la liberté d’expression est massacrée. En temps de paix, la problématique est moins complexe, mais nous ne sommes plus en temps de paix, l’Etat nous fait la guerre, nous ment et nous trompe, il abuse de notre civisme qui nous commande d’obéir, la population ne pouvant croire qu’il s’agit de mensonges et de manipulations, cela paraissant tellement invraisemblable. Et pourtant!
Il est vrai que la spiritualité peut soulever des montagnes. La Russie a vaincu le nazisme au prix de 25 millions de morts grâce à la force spirituelle de l’âme russe, mais aussi par la détermination de Staline qui bénéficiait d’un immense respect.
Même si vous êtes catholique fervent et profondément humaniste, protestant, bouddhiste, etc. si votre vie est menacée, si votre pays, votre culture, votre identité est menacée, pourquoi faudrait-il s’abandonner à l’asservissement ou à la mort? En foi de quoi? Quelle que soit notre position spirituelle, nous sommes en état de légitime défense, c’est ce qu’il m’importe d’exprimer.
Ceci ne remet nullement en cause la spiritualité, simplement et comme toujours, c’est à chacun de faire ses choix en conscience.
Castex dirait : « en responsabilité »… (sans commentaire).
Bien à vous, Marie-France.

Marie-France de Meuron
Marie-France de Meuron
21 décembre 2020 10 h 18 min
 
Bonjour Charles André , Je désire reprendre votre affirmation : « Quelle que soit notre position spirituelle, nous sommes en état de légitime défense » .
Je dirais plutôt que l’état d’âme et d’esprit n’est pas une « position » mais une attitude d’écoute et de réceptivité à d’autres forces pouvant donner des intuitions pour, au moment où on ressent une menace, au lieu de ré-agir, en ré-action à ce qu’on ressent en état de légitime défense, qu’on agisse avec une légitime offensive, pas forcément violente, pour dénouer les noeuds de ce qui semble inextricable à première vue.

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